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Enfin, après de maintes corrections, la partie qui consiste à développer les modes chromatiques de façon diatonique est close. Non sans avoir un doute léger concernant la fiabilté dans son entièreté.

Ce traitement traitait des valeurs numériques signées, et celles des notes analogiques signées. Le fait de parler de numéric et d'analogic est ainsi pour bien distinguer chacune de ces aptitudes de la gamme, il est aussi complètement évident que ces notions ne sont pas visibles pour tout le monde.

Quand on connait le sujet on comprend mieux le sens de ces valeurs musicales, puisqu'à chaque note diatonique correspond un degré signé ou pas. Mais quand on a une compréhension basée sur l'instrumentation de la musique, on a guère l'occasion d'aborder la note multifonctionnelle, même lorsqu'elle est d'un complexe à faire fondre n'importe quel chocolat.

Cette première étape est importante car elle donne la mesure du premier mouvement commatique !

Il fallait transformer chaque entité modale ne comportant qu'une unique note pour celle qui est située dans la gamme elle-même, puis les deux notes chromatiques en état paralèlle sous-forme de rangée supérieure et inférieure. Cette colonne en position tonique de chacun des modes est au centre de deux interférences directrices, les interférences contiennent les valeurs numérique signées ou pas. N'ayant qu'une seule note à développer à l'aide des directives données par les interférences, jusqu'à l'obtention du modèle entier fait de douze éléments par note tonique.

On le sait bien, les gammes commatiques sont vraiment nombreuses et ainsi qu'elles rayonnent d'autres modèles de type commatiques, si bien qu'un seule gamme peut développer un nombre indéfini de cas. Là on parle d'une seule gamme, et avec une deuxième gamme c'est effectivement pareil.

Le traçage des évolutions commatique de la gamme unitaire, est aussi un important système de recherche de manière à ce qu'il soit adapté à la totalité du développement. Il est évident que cette partie des nominations n'est pas facile à réaliser, c'est ainsi que cette partie s'engage prudemment.

Où en est le développement "commatique" ?

Les modulations modales sont en voie d'exploitation, il reste encore à saisir la tonique dégagée pour en évaluer la gamme qui va être concernée par un développement classique, soit que les notes analogiques nous donnent les directives afin de décrire les valeurs numériques relatives aux tonalités des degrés modaux.

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