Selon que la note musicale est une unité élémentaire, dont le seul point qui varie est sa hauteur diatonique. Aussi, et ainsi mise à la valeur égale à une unité simple, elle aurait la particularité de se multiplier. Alors, le nombre de fois que la note est harmonisée va créer la différence élémentaire. Deux notes n’auront pas la même définition que trois notes en harmonie, et le processus des juxtapositions schémbiatoniques aurait raison de leurs propres ancrages.
C’est pour une réponse simple que le symblion va donner toute sa définition et créer son unité complexe. Et enfin de mieux comprendre l’évolution de l’unité élémentaire.
Le mouvement harmonique de l’unité, de son expression élémentaire :
L’unité de la note élémentaire démontre une activité de couple, qui va mettre en évidence des points d’équilibre harmonique. L’harmonie donne raison à l’octave.
Et, l’octave donne raison à la moitié de sa proportion. Aussi, l’octave nous donne des repères périphériques, centraux et évidement les jonctions relatives aux formes originales.
Alors l’unité s’équilibre à son centre, tandis que sa périphérie crée sa limite unitaire. Puisqu’avec le mouvement, nous avons l’orientation, parce que ce sens soit dirigé par l’équilibre de l’unité. Ainsi une paire unitaire dessine une orientation à deux sens, comme tous deux vont vers un unique point central.
Avec le temps, la croisade de l’unité et son tiers :
Un groupement en équilibre, ou bien l’équilibre d’un groupe, est concentré en un milieu relatif aux éléments. Naturellement, de cet équilibre arrive une forme fondamentale géométrique. Qui bien en de ça, au-delà de la forme, il y a les contraintes relatives à l’objet, où la relation est un complexe physique inimaginable tant il y a de solutions.
Le symblion est la forme relative aux notes diatoniques, celles qui font référence à la schémbiatonie. Si bien, que les premières figures ne représentent pas les symblions.
L’évolution du symblion et sa multiplicité instantanée :
La différence est relative selon l’expression de l’unité, puisqu’elle représente un nombre d’éléments égaux assemblés. Aussi, il ne faut pas s’étonner de mal saisir la logique complexe de l’élément. Il aurait été plus simple au moment primordial de faire une série d’analyses chimiques, car la confusion harmonique de l’univers multiple y était bien plus qu’élémentaire.
Mais malheureusement, à ce moment précis de l’évolution cosmique. Il n’y avait pas encore les roses qui, nous donnant leurs parfums, nous ont permis de découvrir l’essence même de la vie olfactive de l’être. Ainsi, que l’odeur nous permette certains questionnements.