Classe harmonie du nombre premier
Télécharger Classnph.xlsx
Il a une quantité de couples impliqués
Télécharger nphcommun.pdf
ce classeur Excel excelle
L'organisation offerte par l'harmonie des nombres, dessine des lignes colorées. Cette sélection nommée a des temps linéaires et du vide, où chaque ligne oblique est un tempérament.
La résolution graphique 2D indique une incohérence dans la localisation des extrémités, ou un considérable éloignement remarqué entre les nombres un et sept sur le tableau.
tempsvide.PNG
Partie d'espace ambiant, dans lequel fusent les ondes formées par les tempéraments harmoniques des nombres. En imaginant une activité visant à rétablir la justesse, non précisée dans l'incohésion parue en 2D.
On en arrive au mode 3D, à décrire des spirales sur ce cours organisé.
Cadences typiques et unités occultées
En partant du nombre un jusqu'à six unités, et d'à chacune unité ajouter six Comme l'unité un à laquelle est ajoutée six, de façon itérative : 1, 7, 13, 19, 25...
Cette série a pour valeurs unitaires (1, 7, 3, 9, 5), elle est répétée et alignée. Les éléments de cette répétition ont été occultés de leurs parts décimales, ce qui n'empêche pas leur poursuite en temps réel.
● Pour un groupe initié au nombre (625)
« I P » = 1 * « D V » = 625. Couple niveau haut
« I P » = 5 * « D V » = 125. Couple niveau…
« I P » = 25 * « D V » = 25. Couple niveau bas
Ces « I P » multipliés à leurs « D V » respectifs, produisent les mêmes résultats…
Ainsi, six cent vingt-cinq possède quatre unités : 1, 5, 25, 125. Ils sont tous de type (1 ou 5), soit préalables nombres premiers. Mais, ce n’est pas une prédilection. Puisque au final, seuls les nombres (1 & 5) sont des nombres premiers. Qui produisent un ensemble de tempéraments.
Afin de multiplier ces deux nombres premiers, on peut choisir de créer deux tableaux :
1. Le tableau TIP = 1, 5
2. Le tableau TOP = 1, 5
Et, de faire une lecture des éléments du tableau TOP à chaque élément du tableau TIP.
Ce qui en langage codé s’apparente à ceci :
While 1:
IP = len(TOP)
N = 625
For i in TIP:
For y in TOP:
X = i * y
If not N % X and not X > N and X not in TOP:
TOP.append(X)
OP = len(TOP)
If IP == OP:
Break
Transcription du code en langage classique.
En créant « TOP », nous savions qu’elle allait porter tous les nombres communs à « N ». Nombre original « 625 » initialisant le terme codé « N », élément de comparaison.
L’élément « i » est multiplié aux éléments « y », produisant « X » comme résultat.
Si le reste du module « X % N » est égal à zéro, alors « X » est un multiple commun.
Si « X » n’est pas supérieur à « N », ceci afin de limiter le résultat à « N ».
Si « X » n’est pas dans le tableau « TOP », alors « X » n’est pas un doublon.
Ces trois conditions, « Si », sont réunies dans le but de produire un résultat exact.
While 1:
IP = Nombre d’éléments dans « TOP » (début)
For i in TIP:
TIP = 1, 5
Prit 1 « i = 1 »
Prit 3 « i = 5 »
Prit 5 « i = 1 »
Prit 8 « i = 5 »
…/…
Prit 11 « i = 5 »
…/…
Prit 15 « i = 5 »
For y in TOP:
Prit 1 « i = 1 »« y = 1 »
Prit 2 « i = 1 »« y = 5 »
Prit 3 « i = 5 »« y = 1 »
Prit 4 « i = 5 »« y = 5 »
Prit 5 « i = 1 »« y = 1 »
Prit 6 « i = 1 »« y = 5 »
Prit 7 « i = 1 »« y = 25 »
Prit 8 « i = 5 »« y = 1 »
Prit 9 « i = 5 »« y = 5 »
Prit 10 « i = 5 »« y = 25 »
…/…
Prit 11 « i = 5 »« y = 1 »
Prit 12 « i = 5 »« y = 5 »
Prit 13 « i = 5 »« y = 25 »
Prit 14 « i = 5 »« y = 125 »
…/…
Prit 15 « i = 5 »« y = 1 »
Prit 16 « i = 5 »« y = 5 »
Prit 17 « i = 5 »« y = 25 »
Prit 18 « i = 5 »« y = 125 »
Prit 19 « i = 5 »« y = 625 »
X = i * y
Prit 1 « X = 1 »
Prit 2 « X = 5 »
Prit 3 « X = 5 »
Prit 4 « X = 25 »
Prit 5 « X = 1 »
Prit 6 « X = 5 »
Prit 7 « X = 25 »
Prit 8 « X = 5 »
Prit 9 « X = 25 »
Prit 10 « X = 125 »
…/…
Prit 11 « X = 5 »
Prit 12 « X = 25 »
Prit 13 « X = 125 »
Prit 14 « X = 625 »
…/…
Prit 15 « X = 5 »
Prit 16 « X = 25 »
Prit 17 « X = 125 »
Prit 18 « X = 625 »
Prit 19 « X = 3125 »
Condition « Si »:
Prit 4 « TOP = 1, 5, 25 »
Prit 10 « TOP = 1, 5, 25, 125 »
Prit 14 « TOP = 1, 5, 25, 125, 625 »
OP = Nombre d’éléments dans « TOP » (fin)
Condition « IP = OP »:
Break (stop)
LES NOMBRES ENTIERS : Temporels premiers.
Épisodes passés & anciens présents
Passifs :
● Multiples communs primaires
ÉPISODE DES COMPARAISONS
● Identification des communs
ÉPISODE DES AFFECTATIONS
● Temporisation communale
ÉPISODE DES TEMPORISATIONS
Épisodes passés & anciens présents
Multiples communs primaires
ÉPISODE DES COMPARAISONS
for iep in range(sq5, i0, -1):
if not uz % iep \ and iep % 6 in (1, 5):
Un nombre est incrémenté pour être comparé, le motif de comparaison est pour le cas le reste de la division. Ainsi pour un nombre « uz » comme unique argument de la recherche des communs, a un nombre incrémenté auquel il opère « if not uz % iep ». Si « uz % iep » égale zéro, c’est qu’il s’agit d’un sous-multiple. Étant donné que la recherche s’effectue sur les préalables premiers, autant ajouter à la condition « if », ceci « and iep % 6 in (1, 5) ». Cette opération produit le reste comme précédemment, avec diviseur, le six filtrant, le type correspondant aux valeurs un ou cinq. Cette comparaison {Nombre % Multiple | Multiple % 6} revient souvent, comme on peut le voir sur le code…
Identification des communs
ÉPISODE DES AFFECTATIONS
Sont affectés les compteurs, les types, puis les nombres ont des ressources affectives. En sachant que les préalables ont des types alignés (1&5), et que le basique incrémenté est le nombre six. Ainsi, en ajoutant six à chaque pied de lignée, en bref : On suit la lignée. L’épisode des comparaisons relate les types préalables, et des motivations de cet exercice assigné sur un nombre incrémenté. Les grands nombres ont des grands intervalles limités par les communs voisins (dirait le tempérament), et comme il n’y a pas encore de recette miracle. On crée des compteurs sur lesquels vont être effectuées les itérations, aussi. Les compteurs sont liés à la racine carrée du nombre sur lequel se porte cet exercice, ils sont répartis en trois tableaux. Et chacun d’entre eux comporte trois éléments, disons que le tableau racine soit s_01 :
Étant donné qu’il y a deux lignes contenant les préalables premiers, et qu’elles sont incrémentées de six. Et qu’en différant de l’incrément un, et en faisant un pas plus grand. Et puisqu’à l’origine les compteurs sont présents, a mis à part de l’incrément, ils ont été couplés aux données des tableaux. Donc, pour ce qui était une poursuite horizontale, du genre l’itération de un à douze sur le chemin couché des nombres.
Certes, ça passe par (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, …, 11, 12), selon la matrice qui superpose les couches aux six nombres consécutifs. En réalisant une poursuite verticale là où le pas est augmenté, lorsque les deux types ont un unique point commun à chacune des couches développées.
Temporisation communale
ÉPISODE DES TEMPORISATIONS
La série des nombres en couchettes et leurs rêves alignés, et le rapport d’intervalle six qui en découle. Les alignements des types non significatifs, soient à terme élémentaire en décrivant ce même intervalle. En connaissant la notion des nombres premiers, celle qui dit :
Dans le cas d’une grande quantité de sous-multiples à un nombre unique.
À eux seuls, les nombres premiers (sous-multiples) produisent tous les communs.
Dans un premier temps, les compteurs organisent la répartition des lectures. Qui sont placées selon les racines carrées, et ainsi avoir des positions calculées à l’aide d’un espace donné. Le principe simple de lecture des nombres premiers, consiste à vérifier l’existence d’un sous-multiple de ce nombre situé dans une des lignées relative aux nombres préalablement premiers. Pour y parvenir, il faut définir un groupe de nombres premiers basiques, qui met en relation les nombres premiers n’étant pas dans les lignées (1&5).
Les nombres primaires premiers sont (1, 2, 3, 5) : Bas niveau = [2, 3, 5]. Le nombre 1 est un multiple commun universel, il n’est pas dans le groupe premier puisqu’il empêche la vérification des autres opportunités en déclarant la présence d’un sous-multiple. Le nombre 5 est présent parce que l’ordonnance a un tempérament de six, permettant la bonne régularité de son cours.
Quand alors, ces définitions visant à exprimer un cours sur les tempéraments et de leurs compositions familières aux multiples. Puis de cette requête des diviseurs entiers, en nombres premiers sélectionnés comme premiers communs. Ces derniers premiers diviseurs, et leurs multiplications forment des stratifications communes à un unique nombre original, mais pas isolé. Selon, la recherche des communs de deux nombres originaux non divisibles entre eux et, qu’ils ne soient pas d’ordre premier. Chaque nombre a une liste premiers communs, rassembler ces deux listes consiste à multiplier les deux nombres originaux.
Nul ne peut le nier, le monde musical offre de nombreux avantages. Son atout résume...
Savoir culturel.
§ Sommes à la marge théorique de la musique, là où commence l'algorithme de toutes les rhétoriques quantiques. Car la théorie ne ment pas, elle reconnait simplement l'erreur.
Nom d'exploitation : Cabviva
SIRET de l'établissement : 43763043700014
Nature de l'activité : Libérale non réglementée
Description détaillée : Centre de recherche sur l'intelligence de la musique quantique
Catégorisation de l'activité : Collaborateur occasionnel du service public
Titre : Gammologue