La gamme naturelle a sa propre chromatisation :
La définition chromatique majeure et relative majeure, est représentée par la signature altérative. L’alternative donnée par le signe « dièse/bémol », développe un couplage pentatonique. Les informations chromatiques contenues dans le type majeur, nous renseignent sur le mode de développement de l’événement chromatique. En effet, l’écriture musicale facilite en repérant chaque note diatonique. Ainsi, la gamme naturelle et majeure, possède des éléments chromatiques absents...
Logiquement, l’évolution chromatique dépend de la gamme utilisée...
L’événement chromatique est variable ou constant, qu’il soit mobile ou immobile...
MOBILE : L’octave est un espace dans lequel évolue la gamme et l’absence chromatique des notes muettes
Le résultat chromatique est calculé selon le fonctionnement diatonique de la gamme, qui ne manque pas d’être riche en modèles de base. L’écriture musicale de la gamme majeure est le rapport d’une règle bien précise au sujet des notes altérées, qui sont affectées aux notes chromatiques. Ainsi, la note C avait pour note chromatique #C, et la note D avait deux notes chromatiques #D et bD. En chiffres, la note C nous donne son premier niveau, facilement équivalant à 1 (un). Puis, #1 est l’opération qui élève l’élément 1 à la hauteur chromatique donnée par l’altération (#). En gardant la régularité suivante ; [1_#1],[b2_2_#2],[b3_3],[4_#4],,, . Malheureusement, il n’y a pas que la gamme naturelle qui puisse être majeure. Maintenant, que dire du chromatisme relatif à la gamme de A majeure : [A,B,#C,D,E,#F,#G] ? - Cette gamme comporte des éléments altérés, l’adaptation chromatique évolue altérativement, et selon la définition numérique des niveaux ordonnés.
IMMOBILE : À ce moment, il y a en circulation un seul modèle chromatique, qui est tablé ci-dessus...
L’attitude musicale du modèle chromatique majeur n’est pas en cause, elle devient aléatoirement relative aux notes simples, telles (naturelles et pas plus d’un signe à la fois)... L’ambiance y est irrégulièrement périodique, pléonasmes harmoniques incontournables voués à réapparaître. Une mise en circulation de phénomènes originaux, de bidules à tout faire en palliatif définitif...
Paradoxalement, une logique d’immobilité aléatoire et sa forme mobile constante...
MAJEUR-chrome ou chrome-MAJEUR
CHROMATISE : Ce qui était caché serait libre de se montrer, même différent
En termes de chromatisation d’une série de nuances partagées, quelques règles sont applicables :
Une reprise de la gamme chromatique majeure et fondamentale, nous donne ses deux relatives opposées. Elles dessinent un relief, les évolutions altératives, en ordre logique et séquentiel.
● #C, #D, #F, #G, #A, bD, bE, bG, bA, bB : Les dix notes chromatiques obtenues
Il est évident, que le chromatisme change selon la gamme attribuée, dont la modulation chromatique n’aura qu’une signification théorique. Puisqu’en fait, la note LA dièse et SI bémol seront identiques à l’écoute instrumentale.
● : Les dix notes chromatiques obtenues
Le problème chromatique vient de sa forme modale régulière, ainsi qu’un nombre d’éléments groupés vont donner un chromatisme. À l’image d’un cluster de notes musicales, pour une autre définition logique des éléments chromatiques complexes... Comme l’exemple suivant 8^)
Développement diatonique majeur
CHAQUE DEGRÉ DE LA GAMME GÉNÈRE LA MODULATION DIATONIQUE
EN CUMULANT LES ACTIVITÉS ALTÉRATIVES
(LES DEGRÉS QUI S’ADDITIONNENT !)
CE CIRCONSTANCIEL TABLEAU EST LA LISTE DES RÉSULTATS OPÉRÉS. EXPRIMANT LA CAPACITÉ DIMINUÉE DE L’ACCENT MAJEUR DE LA GAMME, EN CLÔTURANT L’ÉVOLUTION EN GROUPES À L’ORIENTATION HARMONIQUE. CETTE APPLICATION POSE UN PROBLÈME, QUI PREND LA FORME D’UNE SUBSTANTIELLE RESSOURCE. VENANT DE L’EFFET CUMULÉ DES MODULATIONS. BIEN QU’ICI, NE SOIENT TRAITÉS QUE L’ÉTAT DES NOTES, ET NON PAS LES NOTES ELLES-MÊMES...
Chronique du chromatisme diatonique
Par analogie, les modulations induites donnent des types diatoniques de science-fiction.
Car, l’énergie qui prend sa source aux modulations diatoniques, agglutine les notes sur-intensives.
Qui se regroupent aux points harmoniques suivants : C et #F, la fondamentale et l’axe symétrique de l’octave.
Alors, on comprend que la gamme dirige un regroupement harmonique. Qu’elle est rétroactive, dans son développement diatonique croissant réellement diminué.
Les notes chromatiques et diatoniques n’ont pas changé, mais lors des modulations diatoniques ou des modulations des degrés de la gamme naturelle en cours. Et catégoriquement, en milieu harmonique, le modèle des fréquences diatoniques génère de précieux trésors harmoniques. Acoustiquement parlant...
Le fractionnement relationnel donne la série naturelle et la position du degré, selon que le premier degré naturel est DO, et que DO soit MI = 1/3.
Série de la formation des couples
La gamme naturelle est soumise aux modèles diatoniques correspondants.
Elle a des notes qui vont être soumises aux modulations modales.
Si sa note est inchangée, sa nouvelle position diatonique lui donne l’altération.
La note est comme un objet sonore nuancé
TEL. DO MAJEUR. DEVENU DO MINEUR.
Nul ne peut le nier, le monde musical offre de nombreux avantages. Son atout résume...
Savoir culturel.
§ Sommes à la marge théorique de la musique, là où commence l'algorithme de toutes les rhétoriques quantiques. Car la théorie ne ment pas, elle reconnait simplement l'erreur.
Nom d'exploitation : Cabviva
SIRET de l'établissement : 43763043700014
Nature de l'activité : Libérale non réglementée
Description détaillée : Centre de recherche sur l'intelligence de la musique quantique
Catégorisation de l'activité : Collaborateur occasionnel du service public
Titre : Gammologue