À L’ÉPOQUE, la gamme commatique entretenait déjà des rapports avec la gamme naturelle de Do majeur. La gamme chromatique majeure © comporte des éléments enharmoniques créés par la superposition des notes signées (#Do/b Ré).
L’enharmonie dans un espace chromatique est justement mesurée, puisque confiné à 12 emplacements. L’argument chromatique en fait ne contient que 5 éléments chromes, il ferme l’intervalle spacieux aux sept notes diatoniques de la gamme.
***
À SES SIGNATURES SIGNIFICATIVES
***
La gamme de DO majeur référence, à tonalité chromatique ajoutée.
En se référant aux tonalités des notes naturellement, non signées. Chaque modulation précise
une tonalité diatonique, là où les notes non signées, n'ont pas les mêmes signatures tonales.
● Un visible écart de conduite diatonique
La gamme de DO développe une tonalité diatonique majeure
● L'école de conduite diatonique
À laquelle, des notes signées viennent argumenter les intervalles (entre valeurs). En terme littéral, l'approche de la tonalité n'irait pas sans une autre expression, tel de type numérique, comme solution. Afin de clarifier la note, chrome aussi, qui a deux états. La tonalité de la note, lorsqu'elle est isolée, équivaut à la valeur 1. C'est harmoniquement que la tonalité se précise.
● Exemple simple de tonalité diatonique
Comporte une série de notes signées ou non
Un équivalant numérique positif / négatif
La gamme chromatique est harmonique, et son rôle est majeur pour son enveloppement.
Au point de vue tonique, il y a une première tonalité assez compliquée.
Classiquement, le développement diatonique de la modulation chromatique modale n'est pas réellement nécessaire. Puisque étant incluse dans l'unique logique des mêmes notes diatoniques, identifiables à la première tonalité modale.
L'appoint de la septième modulation apporte son lot d'indications.
Si une des valeurs numériques de la septième modulation diatonique est égale à une des valeurs du modèle de modulation de la tonique. Lignées des pôles chromes positives / négatives
Et que, chronologiquement placées, les valeurs égales coïncident. Alors, la polarité chromatique a un cycle fermé à l'image du pont baissé. Et autrement, s'il n'y a pas de coïncidence égale à valeur voisine. Voire, le pont levé à cycle limité aux jonctions (7/1), créant une polarité harmonique étant un résultat différentiel.
En inversant les formules modales reconstituées, et produire une matrice à valeur numérique. Les formes n'ont pas changé, elles n'ont pas encore de tonalité et il en faut une pour chaque ligne. Pour garantir une mise en tonalité de l'organisation des valeurs numériques, à chaque début de formule, rangée sur la première colonne. Viennent s'écrire de haut en bas la suite diatonique de la gamme chromatique majeure de DO (c), informant la tonalité modale d'une tonalité tonique.
Au départ, les notes nous délivrent leurs tonalités sous la forme de formules. Pour qu'ensuite, les formules puissent nous formuler leurs tonalités. Un jeu de valeur de note et de note tonale, qui par simple inversion fait sa révolution. Le petit pas qui n'est pas une petite évolution !
Le tableau rassemble six éléments commas parmi la douzaine des formes inversées :
Du moment aux données numériques, un peu abstraites sans les notes. Mais d’origine majeure.
Le moyen du développement appliqué, a consisté à établir le chromatisme majeur sur la première portée verticale et la série des toniques modales.
À partir de cette originalité tonale, la gamme chromatique se commatise. La ligne horizontale a une tonique comme première tonalité, puis une double série de formes numériques. Une fois que toutes les lignes horizontales comportent les tonalités, on voit qu’elles ne sont pas diatoniques entre-elles. Si bien, que chaque ligne précise une gamme unique
C’est exactement ce que représente le tableau
Cette expression a des liens avec « les gammes de l’union » éléments clefs majeurs (1, 6, 8).
Dans le contexte général, chaque tonalité comporte des événements remarquables. Un autre type d’enseignement en surproduction chromatique, et en convergence diatonique. (Tout vient de l’inversion.). Généralement, le premier résultat consiste à lire chaque ligne modale horizontalement. Ainsi, qu’en chaque première tonalité tonique modale rangée en colonne verticale de haut en bas. On comprend, que le sens de lecture est à la hauteur de toutes les ambitions. Pour l’instant, le cours en est à la définition tonale des tonalités (…). On est en phase car, cet ensemble diatonique est d’enseignement horizontal. Dans son interprétation verticale, chaque colonne comporte une nouvelle diatonie chromatique. Le pas commatique approche (…)
Le sujet a besoin de savoir où il va, puis tout ce qui a été dit nous conduit à penser, que le chromatisme majeur produit une quantité de 12 gammes. Ces gammes ne sont pas diatoniques entre elles, et chacune produit également 12 gammes. Et ainsi de suite. Comment comprendre cette situation de prolifération gammique sans effectuer cet immense développement, tout en sachant que chaque heptatonique donne son propre chromatisme…
Sur ce « terrain » où le déploiement s’effectue en plusieurs étapes
Procédé de l’initialisation des données
1. Premier état diatonique chromatisé
État des notes réelles et des valeurs ajoutées
2. Initialiser l’ordre initial
Liste des valeurs modales, sans les notes réelles
3. Inverser l’ordre des initialisations
Sans les notes réelles, uniquement les valeurs
4. Mise à la tonalité des initialisations
Écriture verticale au degré tonique du premier état
Écriture horizontale des notes initialisées par la tonique
5. Configuration du pas commun
Il est sûr que tout ceci ne peut être dit sans que toutes ces premières écritures aient été réalisées. La lecture horizontale des tonalités modales met en relation les gammes transversales, qui correspondent à un type de transposition. Tout comme l’expérience de mettre la note Do à toutes les toniques modales, pour avoir un apport initiatique.
Si la forme horizontale conduit à un milieu connu, la verticale ouvre une voie de tonalité inconnue.
L'évidence des complexes formés par les gammes :
Le travail réalisé jusqu'alors a suivi le cours de l'unicité gammique, soit l'élément sélectionné. En sélectionnant la totalité des éléments, ou en harmonisant tous les éléments. À ce temps, des gammes fondamentales mêlées, aux points des liens inter-gammiques majeurs.
Les différences entre les gammes une fois rassemblées égalisent un complexe
La réalité des voies commatiques, est due à l’inversion de la séquence des tonalités. Ceci produit un déphasé diatonique, contrairement à ce qui transparaît lorsque la modulation transpose. Cet épisode conduit un type de modulation, bien plus enharmonique qu’inadapté, qui ne répond pas aux mêmes règles vues jusqu’alors :
● Une gamme diatonique certifiée
Tous les développements vus jusqu’ici, certifiaient la présence de l’ensemble diatonique des 7 notes naturelles signalisées.
● Un chromatisme adapté conforme
Ainsi, que de leurs formulations chromatiques donnant un sens aux intervalles.
Maintenant nous avons plusieurs échappatoires, puis il faut encore en découvrir leurs sens. Nous savons déjà interpréter les notes musicales à travers les gammes exposées, et avons bien compris le maniement des signatures pour un ajustement technique avec les valeurs des tonalités.
Comment aller plus loin sans ce savoir d’interprétation ?
Il est plus facile de signer chaque note, que de la comprendre. L’écriture est plus simple que la lecture pour les nouvelles choses, ce que nous montre la gamme commatique est la définition de ses clefs*
Des signes distinctifs de la tonalité diatonique des commas, autant qu’en harmonisant l’unité enharmonique. Ainsi que des phénoménales disparitions tonales, aux valeurs ajoutées des gammes jumelées. C’est donc en ce début des révélations sur le commatisme, qu’il faut assurer une bonne traçabilité à cause du nombre de cas. Et pour ce fait, tout doit être clair. Les pages de la série gam pro à Facture éduquée
À savoir, qu’au premier niveau commatique de chaque gamme(∞). On décèle d’autres gammes(∞∞), faisant des enseignements relationnels.
À suivre, ici même…
Nul ne peut le nier, le monde musical offre de nombreux avantages. Son atout résume...
Savoir culturel.
§ Sommes à la marge théorique de la musique, là où commence l'algorithme de toutes les rhétoriques quantiques. Car la théorie ne ment pas, elle reconnait simplement l'erreur.
Nom d'exploitation : Cabviva
SIRET de l'établissement : 43763043700014
Nature de l'activité : Libérale non réglementée
Description détaillée : Centre de recherche sur l'intelligence de la musique quantique
Catégorisation de l'activité : Collaborateur occasionnel du service public
Titre : Gammologue