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HISTOGRAMME :

La relation du complexe, à la relation des tempéraments... 



En résumé, on développe les tempéraments annoncés dernièrement. Tout en suivant les données précédentes ;

Soit, le fait d’une double lecture du tempérament. Et, du développement diagammique, du même tempérament.

Afin, de découvrir les différents effets développés.

L’armature est contrainte à la rigueur naturelle des notes diatoniques, issues de la gamme de Do majeure.


 On ne peut pas avoir #Si, sans avoir #Do

 On ne peut pas avoir bDo, sans avoir bSi

 On ne peut pas avoir #Mi, sans avoir #Fa

 On ne peut pas avoir bFa, sans avoir bMi


On a compris, que pour altérer une note, il fallait faire attention à sa note voisine directement liée. Car, cette note se trouvant sur son parcours. Si elle ne laissait pas son emplacement libre, la note altérée ne pourrait pas terminer sa course.


On sait aussi, que le tempérament des quartes relatif à l’armature, qui porte des bémols. Ne pourrait pas commencer n’importe où. Au risque de provoquer des enharmonies, d’avoir pour un unique emplacement deux notes bien distinctes.


La quantité des armatures à développer, va devoir détailler le sens profond du rapport entre les notes. En utilisant un seul signe altéractif, les choses sont facilitées. Alors, on devine encore là, un autre complexe tournant autour du système gammique.


La rigueur décrite ci-dessus va être outrepassée, afin de développer l’ensemble des armures. Aussi, vont ressortir du lot, les éléments ne donnant aucune enharmonie, c’est à titre de la qualité toniquement proche des gammes. Deux armatures peuvent ne pas présenter d’enharmonie, et ne présenter qu’une différence de tonalité modale, selon les rangs chronologiques des gammes fondamentales.


L’armature développe des gammes composées d’une quantité de notes, à chaque signe ajouté une nouvelle gamme apparaît. D’où l’expression diagammique, qui exprime une suite de gammes. Ce terme a copié sur le mot diatonique, qui exprime toutes les notes qui composent la gamme. Seulement là, ce ne sont pas uniquement des notes qui y sont développées. Mais, des gammes bien réelles !!!



Tous ces mots n’auraient aucun sens, s’il n’y aurait pas de développement !


Pour démontrer les arguments nécessaires à mieux comprendre les armatures :


 Celles qui vont paramétrer une structure basée sur les signes d’altérations, ce qui en soi désigne la réponse harmonique des signes altéractifs en milieu tempéré. Celles qui aident à distinguer les points issus des mesures naturelles, c’est sans prêter une attention aux valeurs harmoniques données par les intervalles réels. Que les signes sont attribués aux notes ayant les valeurs absolues, occupés à garder uniquement l’ordre des notes musicales. Ainsi, l’élément classé devient une unité n’ayant aucune distinction mineure ni augmentée. D’où en ressort un milieu d’une variable exactitude, étant que le développement est provoqué par un acte mesuré...


 L’action provoquée sciemment sur des éléments naturels, forme l’organisation parallèle à l’évolution en mouvement. Soit, ce que ces éléments auraient pu être dans une élaboration sans altération. En définissant ce point de vue, on peut imaginer les différents contextes d’évolution.


1. L’évolution selon les altérations :


Si les altérations créent le mouvement relatif aux forces voisines


C’est ici, qu’interviennent les résultats survenus lors des rencontres élémentaires. Aussi, ces forces ont créé des nouvelles harmoniques, « ondes harmoniques »


2. L’évolution selon les primitives :


Les éléments originaux et leurs premières résonances


Dans ce genre d’évolution, l’origine fondamentale des ondes réelles est intacte. Les principaux éléments donnent leurs propres énergies, et influences. Il est évident, que ces formes originales ont toutes leurs ondes exprimées. Logiquement, les altérations n’ont pas annulé ces rôles fondamentaux !


Relevé du principe des armatures. Page 1



 À chaque rangée, l’armature définit une gamme.


Les rangées ne s’arrêtent pas au terme du septième signe, elles peuvent encore inclure d’autres signes et donc d’autres gammes aux notes diatoniques.





 Alors, elle développe une série de gammes.


Tout comme la gamme développe les modulations diatoniques, non pas une série de sept notes. Mais, une série de sept gammes ayant chacune sept notes. Ainsi, les gammes développées par une armature, appartiennent à la même famille…




 L’armature contient les gammes diagammiques.


Celles qui évoluent dans un tempérament donné, ayant été classé parmi les différents degrés, et étant mis à niveau. Au rang du degré de chronologie gammique... 



I Premier degré « bB »

À la différence des autres degrés diagammiques de l’armature… . À ce niveau, l’armature développe uniquement des gammes majeures. Ce côté « majeur » a aidé cette armature à une utilisation fréquente, créant ainsi un standard incontournable. Car, au-delà des gammes majeures. Il y a les abysses, sans lesquelles la surface ne serait plus la même !

II Deuxième degré « bE »

Les degrés de l’armature…
Le taux de gammes majeures développées est relativement majeur. Puis, l’indice enharmonique est simple, par la note bC. Et, le rattrapage majeur, bien qu’à faible taux, n’est pas instantané.

On voit clairement, l’altéraction donnée par la note « bC » !

En effet, elle est venue recouvrir la note B (Si) !

III Troisième degré « bA »

Les degrés de l’armature…
Le taux de gammes majeures développées s’est réduit. Puis, l’indice enharmonique est double, par les notes bC et bF. Et, le rattrapage majeur est constant. On voit clairement, puis les notes « bC & bF » !

Sont venues recouvrir les notes B (Si) et E (Mi) !

IV Quatrième degré « bD »

Les degrés de l’armature…

Le taux de gammes majeures développées s’est réduit. Puis, l’indice enharmonique est doublé.

Le rôle additif des signes et de leurs altéractivités, en milieu de la gamme naturelle, est encore à dévoiler. Il est sûr, que la note absolument naturelle reste notre principale harmonie gammale. Aussi, elle est vouée à servir de comparaison, notamment pour son tempérament des secondes.

V Cinquième degré « bG »

Les degrés de l’armature…

Poursuivons le rythme comparatif de l’évolution de chaque tempérament, pour nous apercevoir que l’on se retrouve à une croisée de ces deux tempéraments (la quinte naturelle mineure & la quinte diagammique du tempérament des quartes).

Encore une fois, les harmoniques relatives se sont croisées !!!

VI Sixième degré « bC »

Les degrés de l’armature…

Ici, la tonique mineure devient une harmonique en quarte (selon l’armature en cours). Ce qui en revient à dire : À comprendre, que le développement des quartes absolues, auxquelles on a apposé une signature mineure. Produit une série qui lui est propre, et que son rythme mécanique poursuit une constante évolution.

VII Septième degré « bF »

Les degrés de l’armature…

Pour terminer, il n’est pas désagréable de découvrir que le septième degré diagammique du tempérament des quartes de signature mineure. Du fait qu'il soit proportionnel à deux positions qui font la clé des gammes.

1. La note médiane naturelle...

2. La note sensible des quartes...

Suite relative au développement des armatures...


Dans l’armature évolue un tempérament donné à des signes altéractifs, ceux qui à chaque étape donnent une série finie de gammes aux notes altérées. En comprenant, qu’une armature complète contient une séquence de signes représentants une modulation gammique. En développant cette même armature à un autre degré de son original, on obtient des modulations diagammiques. Dont chaque degré va induire une modulation des gammes, celles qui viennent de l’armature originale à un autre degré de développement.


Pour finir :

L’armature développe une série de gammes extraordinaires, qui sans l’armature n’auraient pu être liées. 

Ce que représente l’exemple.


Il nous dit, que l’armature nous donne sept gammes relatives à la gamme naturelle de Do majeur. Mais ainsi, qu’elle correspond à une série de modulations diagammiques. Si dans l’exemple, l’armature est une suite de signes commençants par la note Si bémol. L’armature pourrait aussi bien commencer, par la note Mi-bémol. Ce qui entraînerait automatiquement des modulations gammiques, parfois enharmoniques selon qu’elles sont à six ou cinq notes de musique.


Le développement en cours, dans le fond, il n’est pas différent du développement diatonique de la gamme. Autrement, l’armature génère une grande quantité de gammes. À chaque cas, une nouvelle gamme, une nouvelle modulation du degré, pour encore une nouvelle gamme.


En adaptant les armatures à des exploits diagammiques, on établirait un répertoire relatif aux tempéraments signés...

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