ST12a
Pour se souvenir de cabviva-2000, c’est à cette époque que le sujet tétracordique est apparu. Au fait, il a été fait à la main. Actuellement, le sujet est en phase de retransmission, par l’édition web.
Il s’avère que les développements d’ici et là, ont modifié l’original à cause d’une contextuelle pédagogique. Une bonne raison pour revenir à l’année 2000, la source de nos problèmes en la matière !
À l’époque, il était question de tétras d'utilité diatonique, symétries. De cycles toniques, primaires et seconds.
Sinon, que les paramètres allaient finir par compliquer le dessin. La finalité d’une relation diatonique, dans la suite intégrale de l’ordre tétra. Où chaque élément se traduit par une suite d’expressions, mettant en jeu une forme théorique des membres harmoniques. Le temps se déroule selon les formes harmoniques, donnant une généralité originale.
La révolution diatonique donne les modulations, qui sont conditionnées à être issus d’une même origine. Puisqu’il s’agit d’un groupe d’éléments, et que les groupes diatoniques dessinent les relatives harmoniques.
Nous avons donc ainsi pu voir, les particules élémentaires. Qui, soigneusement classées, déterminent l’évolution gammique effective aux fondamentales sélectionnées. L’engrenage du sujet va conclure à diverses notions de classes vectorielles.
Le niveau premier, dans notre cas, est symbolisé par le tétra «
FµT
». Bien que sa longueur soit courte, elle suit naturellement une démarche harmonique pure. Ainsi, que n’ayant aucun intervalle, elle forme un point tonique d’harmonies chargées. Et aussi d’un autre surprenant de gravité, ou d’attrait harmonique. Par son pouvoir à entraînement tonique.
Bien que parfaitement harmonique, il n’est pas unique, il n’est pas le seul à procéder à des changements harmoniques.
Au sujet, des symétries conditionnées par les différents tétras. Elles sont les vecteurs harmoniques, les points d'où sont rejetés les harmoniques en échec. Aussi, que les symétries ne suivent pas toutes le même axe d’évolution du tétra « FµT ».
À cause de la dynamique diatonique, l’onde tétracordique dessine des formes conjuguées en séquence dans le temps harmonique.
Le document « système T 12 a » retrace, avec précision, le parcours d’ensemble. Il démontre les paramètres géométriques, par les notions de fils symétriques et de classes temporelles. Le mouvement ainsi découvert, définit une synthèse diatonique, qui s’occupe de placer les pas en fonction d’une régularité clustérienne. Qui, je le rappelle, se trouve être similaire aux harmoniques naturelles.
- Cet assemblage tétracordique est complexe, non pas seulement lorsqu’on le découvre, comme ici. Mais aussi, .../...
… /… lors des analyses, permettant une synthèse originale et pleine de bon sens. Il est sûr, que l’expression tétra ne s’arrête pas là !
Les pages suivantes vont révéler d’autres événements relatifs, en approfondissant par le biais d’une localisation structurelle au sein des gammes elles-mêmes. Ou bien, au-delà de leur contexte temporel. Le tempérament harmonique selon la hiérarchie gammique.
HISTOLYSE : La structure harmonique en milieu gammal, harmonie tétra bien sûr ! ...
L’avancée de l’étude du phénomène tétra, suit la démarche fondamentale organisée dans l’ère « calgam »...
Si les tétras forment le contenu des gammes primordiales, ils dessinent aussi les mouvements harmoniques au sein d’un système premier. Du point de vue dépend l’analyse à communiquer !
Tout comme la différence entre l’ordre croissant et l’ordre harmonique des tétras.
Les groupes tétras s’orientent à rassembler les mêmes occurrences d’une façon intégrale. Et ainsi rapporter, qui va avec qui, et qui va où, ou donner des réponses mécaniques.
J’ai choisi l’ordre « calgam », car il était l’objet de mes recherches quantiques. En effet, le travail développé a été conséquent. D’où aujourd’hui, reviennent les groupes et toute leur éthique. Ce que nous allons commencer à découvrir ensemble. Moi l’écrivain et vous les lecteurs...
Parmi les tétracordes, il y a des éléments originaux. Des éléments clefs, tels le n°1 et le n°14, ils sont tous deux représentatifs des harmoniques en développant une diatonique invariable ou constante.
Le tétra ou cluster tétracordique n°1 est le premier arrivé dans la logique d’un ordre numérique croissant. N’ayant aucun intervalle disponible pour les harmoniques (diatoniques).
Le tétra n°14, a dans sa constante d’intervalle validé par sa longueur d’unité tonale à valeur 1. Et, représente aussi, la valeur iso-diatonique la plus élevée du système gammique. Car, avec 1 ton et demi, l’élément tétra devient identique à l’espace total de l’octave.
Si vous ne le croyez pas, dessinez-le donc !
Le cluster « F » de l’unité « µT » est le n°1.
Le cluster « O » de L’unité « µT », le n°14.
En retrouvant les mêmes éléments, aux différents pôles de l’espace de l’octave. On redécouvre l’aspect harmonique relatif gammique. Ainsi, que tous les éléments utiles à la récréation des groupes tétras. Alors chaque tétra va être conjugué ou relié à d’autre tétras. Cette relation nous révèle la mesure réelle des objets et de leur importance. Ce qui en fait continue l’observation du monde gammique...
HISTOGRAMME : La combinaison des types tétras, en milieu gammique ...
Nul ne peut le nier, le monde musical offre de nombreux avantages. Son atout résume...
Savoir culturel.
§ Sommes à la marge théorique de la musique, là où commence l'algorithme de toutes les rhétoriques quantiques. Car la théorie ne ment pas, elle reconnait simplement l'erreur.
Nom d'exploitation : Cabviva
SIRET de l'établissement : 43763043700014
Nature de l'activité : Libérale non réglementée
Description détaillée : Centre de recherche sur l'intelligence de la musique quantique
Catégorisation de l'activité : Collaborateur occasionnel du service public
Titre : Gammologue