L'algorithme de production des gammes commatiques est décalé par rapport au plan papier d'origine.
Cette analyse s'est terminée sans rencontrer d'erreur.
En ayant placé les tonalités numériques en donnant à chacune des tonalités analogiques.
On a apporté tous les éléments utiles pour formuler des états horizontaux, ces derniers supportent des qualités majeures et seront utilisées dans la prochaine étape. Qui démontrera également en quoi les diatonies horizontales ont des rapports majeurs.
La matrice chromatique à cycle fermé de la gamme en cours (ici en Do majeur), a produit douze diatonies qui ont les mêmes qualités que les modèles commas développés plus loin, soit d'avoir des notes binômiques en trilogie ainsi que des diatonies entièrement enharmonique.
3. Le développé des tonalités analogiques renfermé dans chaque ligne horizontale, qui comme en rapport avec la gamme en cours qui
est en Do majeur.
a. Dans ces lignes horizontales, les emplacements relatifs à la note tonique du Do vont donner les tonalités.
b. Finalement, cette étape nous conduit à choisir les diatonies verticales qui produisent les futures tonalités commatiques.
4. Les tonalités horizontales ont des caractéristiques majeures, puis en ayant effacé les évènements enharmoniques, on voit
clairement les binômes formant un groupe de notes diatoniques.
a. Quand le groupe atteint les sept notes - "ici, il y a cinq groupes "on repère facilement les tonalités majeures.
b. Il y a ces gammes majeures [bD, F, bE, G, B], sur un fond de répartition de zones significatives.
Les notes binômiques ont chacune un état unitaire, sachant qu'au départ, il s'agissait de deux mêmes notes, l'une située sur la partie supérieure et l'autre en partie inférieure. Par conséquent, étant identiques, ces notes peuvent se regrouper en une seule note, qu'on dit aussi "isolée" et elle n'est pas en enharmonie. Ce type de note en tant qu'unité est diatonique et commune à la gamme et premier niveau dans la hiérarchie, la note a la particularité de pouvoir porter un signe d'altération venant ainsi donner un sens de relief supplémentaire. Parmi les notes isolées, on voit que leurs degrés toniques ont des emplacements différents, entrainant des points de reliefs distincts.
Les notes en positions enharmoniques sont sublimées par un fond diffus, occasionnant une autre forme de relief à un autre niveau enharmonique. Cette matrice évoque deux types diatoniques dotés d'intervalles, et une diffusion de type enharmonique.
La matrice chromatique fermée version en cours.
Pour situer la première ligne (ci-gauche) portant le numéro treize, fait mention au même numéro de colonne - suivant le tableau du développé horizontal. En commençant par la tonique (ici Do), puis en prenant les notes une-par-une dans la colonne de haut en bas, on élabore un modèle diatonique qui n'attend plus qu'un développement de chacun des degrés modaux.
Par deux exemples :
Ligne 13. Nom = CDEFGAB
Ligne 12. Nom = #A
Toutes les notes toniques sont en Do = C = #B = bbD
Cette série poursuit sa logique en créant un hologramme du même type que précédemment.
Nul ne peut le nier, le monde musical offre de nombreux avantages. Son atout résume...
Savoir culturel.
§ Sommes à la marge théorique de la musique, là où commence l'algorithme de toutes les rhétoriques quantiques. Car la théorie ne ment pas, elle reconnait simplement l'erreur.
Nom d'exploitation : Cabviva
SIRET de l'établissement : 43763043700014
Nature de l'activité : Libérale non réglementée
Description détaillée : Centre de recherche sur l'intelligence de la musique quantique
Catégorisation de l'activité : Collaborateur occasionnel du service public
Titre : Gammologue