Cette gamme a une anomalie au niveau de l'axe Y, normalement au-dessus, il y a les augmentations. Mais pas ici, puisque les bémols sont au-dessus pour produire un cycle d'octave fermé (rappel).
La mise à la hauteur des notes du premier mode chromatique est notre point de repère, c'est ainsi que les notes altérées se retrouvent toutes au même niveau. Ce mode commence à un et est aussi son niveau de référence, alors toutes les notes qui lui sont majeures vont se trouver sur ce niveau même si la note est altérée. Le premier degré de chacun des modes diatoniques, fera toujours la référence afin de stabiliser les positionnements en fonction des valeurs numériques.
Le deuxième degré chromatique a deux toniques qui sont les notes chromatiques du premier rang.
Les premiers degrés sont tous deux en première position, et quand on analyse le 1ᵉʳ degré "-D" on ne s'occupe uniquement des notes qui sont du même type (diminué et rouge). Dans l'exemple -D donnant le niveau principal majeur, on voit bien que la note D est surélevée puisqu'à son niveau, elle a la valeur numérique +1. Puis généralement ce modèle compose toute la série diminuée en degré majeur, tout comme son double, le premier degré +C.
On remarque une deuxième anomalie à la note F qui est majeure pour le degré -D, et en quarte mineure pour le degré +C. La note Fa devrait avoir un double positionnement :
Pour bien faire, il aurait fallu que la note Fa soit en position majeure de Ré bémol, et en position mineure de Do dièse. Pour ce, la note aurait dû avoir un plus gros volume, et ainsi faire une jonction entre les différentes toniques de ce mode chromatique.
Si dans le plan bidimensionnel (2D) le mode dont la tonique est la note Ré, et qu'il reproduise une parfaite symétrie. Sachez que c'est un leurre à cause d'un manque de vision 3D, un défaut de perspective pouvant annihiler ce rapport symétrique. Visible aux notes B et C qui ne correspondrait pas avec les notes E et F.
En 4ᵉ mode bidimensionnel il y a deux notes toniques (-E et +D), leurs niveaux numériques (Z) forment une tonification parallèle. Comme précédemment, la note Fa n'a pas la même valeur tonique, selon qu'à son 2ᵉ degré majeur correspond au 3ᵉ degré diminué. Ainsi, qu'un 2ᵉ degré majeur diminuant la note, afin qu'elle devienne la majeure précise en mode diminué de sa tonique. De façon générale, toutes les notes primitives majeures sont en discordance.
Le mode chromatique en (F) est majoritairement majeure, la note (-B) s'en trouve élevée au niveau majeur. Et la note (A) naturelle est rehaussée au niveau de type augmenté, qui se situe à l'axe symétrique (A) harmonique entre la tonique et l'octave (F).
Cette dernière note rehaussée fait la conjonction avec la note augmentée (+A), double harmonie du même niveau.
On parle de cycle chromatique comme si on parlait d'une roue.
Ce n'est pas faux, puisqu'en prenant le mode en Si pour le ramener sur le mode en Do,
on résout le mystère cyclique des gammes en général.
Nul ne peut le nier, le monde musical offre de nombreux avantages. Son atout résume...
Savoir culturel.
§ Sommes à la marge théorique de la musique, là où commence l'algorithme de toutes les rhétoriques quantiques. Car la théorie ne ment pas, elle reconnait simplement l'erreur.
Nom d'exploitation : Cabviva
SIRET de l'établissement : 43763043700014
Nature de l'activité : Libérale non réglementée
Description détaillée : Centre de recherche sur l'intelligence de la musique quantique
Catégorisation de l'activité : Collaborateur occasionnel du service public
Titre : Gammologue